Le Calendrier chinois est un calendrier soli-lunaire (ordre plus souvent utilisé que :calendrier luni-solaire). Durant l'antiquité, des observations diverses (mouvements de la
Lune, du
soleil et de la planète
Jupiter, longueur des ombres, durée relative des jours et des nuits, phénomènes agricoles) ont été combinées pour aboutir sous les
Han à un calendrier très proche de l'actuel.
Selon la tradition, le premier système calendérique (cycle sexagésimal) fut créé par l'Empereur Jaune en 2637 avant notre ère et appliqué à partir de son année de naissance -2697 ou de conception -2698.
Le calendrier grégorien fut officiellement adopté par la Chine en 1912, mais du fait du maintien des habitudes populaires et de l’occupation du Nord de la Chine par les Seigneurs de la guerre, il fallut attendre le 1er janvier 1929 pour qu’il soit appliqué sur toute l’étendue du pays. L’heure officielle choisie fut celle des premiers ports ouverts à l'Occident, sur la côte Est (120°de longitude Est), et non plus celle de Pékin.
Le calendrier chinois n'est plus utilisé que pour déterminer les dates des fêtes traditionnelles ou religieuses comme le Nouvel An chinois ou la Fête de la mi-automne, ainsi que pour l'astrologie.
On lui donne plusieurs noms, le plus courant étant celui de « calendrier du fermier » , par opposition au « calendrier civil » , ou « calendrier occidental » .
Les populations non-Han avaient en général leurs propres calendriers, encore utilisés par les minorités nationales de Chine populaire pour déterminer leurs jours de fête.
Évolution
L’association soli-lunaire est ancienne, puisqu’on a retrouvé sur des écrits divinatoires de la
Dynastie Shang l’année de 12
mois lunaires avec un ou deux mois intercalaires.
C’est à partir de 841 av. J.-C. (Zhou occidentaux) que l’on a des indications calendériques précises. Le premier mois du calendrier Zhou commence toujours aux alentours du solstice d’hiver ; il n’y a pas de règle astronomique précise pour la place du mois intercalaire. Le calendrier royal n'est pas en vigueur partout car les vassaux en promulguent parfois un autre de leur choix dans leur fief, particulièrement à partir des Royaumes combattants, lorsque le pouvoir central ne fait plus le poids devant la montée des hégémons. C'est vers cette période, en 484 av. J.-C., qu'apparait un système comparable au cycle métonique qui prévoit sept années embolismiques (contenant chacune un mois supplémentaire) réparties sur un cycle de 19 ans.
En 256 av. J.-C., le royaume de Qin fixe le 11e mois au solstice d'hiver. Comme Qin fondera l’empire, ce principe sera repris par les Han pour le calendrier Taichu ou calendrier du “Grand commencement” instauré en 104 av. J.-C. par l’empereur Wudi. Bien qu'il subsiste d'autres calendriers spécialisés (astrologiques, astronomiques etc.), le calendrier Taichu devient la référence principale jusqu'au XXe siècle.
Le solstice d’hiver y tombe toujours au 11e mois. Est considéré comme intercalaire le mois pendant lequel le soleil n'entre pas dans un nouveau signe. En raison des difficultés de calcul astronomique, les mouvements du soleil et de la lune sont tout d'abord des moyennes, et non les mouvements réels. C'est seulement en 619, sous les Tang, que la lune réelle remplace la lune moyenne. L'utilisation du soleil réel devient possible à partir de 1645 (Dynastie Qing) grâce au calcul par sinusoïdes introduit par le Jésuite Adam Schall.
Principes du calendrier luni-solaire (Taichu)
Les règles de base étaient déjà fixées par le calendrier
Taichu des Han, mais la précision accrue des calculs de la position du soleil à partir de 1645 a compliqué les règles concernant la détermination des mois intercalaires.
- Les mois du calendrier chinois sont des mois lunaires ; ils portent comme nom leur numéro d’ordre (1 à 12). Comme tous les autres jours, le premier jour de chaque mois commence à 23 heures juste avant la nouvelle lune, qui doit intervenir dans le jour astronomique qui suit.
- L'heure officielle de la nouvelle lune astronomique et de l'entrée du soleil dans un signe zodiacal est l'heure locale de l'observatoire de la Montagne Pourpre (紫金山天文台 Zǐjīnshān Tiānwéntái) à Nanjing ( fuseau horaire de Pékin ).
- Le solstice d’hiver (21 décembre) tombe obligatoirement dans le 11e mois lunaire: Par conséquent, et bien que l'astrologie occidentale soit très différente de l'Astrologie chinoise, il est possible de dire si l'on veut vraiment trouver des points de concordances, que le Soleil entre dans le signe du Capricorne du zodiaque occidental au cours du onzième mois lunaire de l'année chinoise, qui fut jadis le premier mois, celui du Rat, du cycle Duodécimal normal. À ne pas confondre avec le premier mois de l'année civile chinoise, celui du Tigre dont le premier jour est le jour du Nouvel An chinois.
- Le Nouvel An chinois tombe entre le 21 janvier et le 20 février (inclus).
- Chaque année a 12 mois lunaires ordinaires mais, tous les 2 ou 3 ans, un 13e mois supplémentaire intercalaire sans jalon médian est ajouté (La course annuelle du soleil est divisée en 12 et concrétisé par des jalons aux dates de son passage). Lorsqu'un mois lunaire ne contient pas de jalon médian et s'il se trouve à moins de 20 mois d'un précédent mois supplémentaire, il est ajouté à l'année lunaire qui compte donc 13 lunes pour maintenir le calendrier chinois à la fois en rapport avec le Soleil et avec la Lune (闰月 rùnyuè). Ce mois supplémentaire peut théoriquement s'intercaler après n'importe quel mois régulier. Il a le même numéro que le mois ordinaire précédent, mais est marqué comme intercalaire.
- En fait, le 12e mois n’est jamais suivi d’un mois intercalaire. Les mois supplémentaires se placent le plus souvent après les mois réguliers 3, 4, 5, 6 et 7. Cela provient du fait que le Soleil se déplace plus rapidement sur l'écliptique entre l'équinoxe d'automne et le solstice d'hiver et les étapes solaires sont presque de la même longueur que les lunaisons. Certains astrologues affirment même que le 11e mois lunaire, lui aussi, n'est jamais suivi d'un mois intercalaire, pourtant exceptionnellement en 2033 le 11e mois devrait être doublé par l’ajout d’un mois intercalaire. Le 8e mois régulier sera nommé « faux mois intercalaire » (jiǎ rùn yùe 假閏月).
- Pendant 96,6% des mois, le soleil entre dans un nouveau signe zodiacal. Cas d’une année simple sans mois intercalaire :
Saisonchinoise | Numérodu moislunaire | Nomdu moislunaire | Branche terrestre(signe animal)du mois lunaire | Mois lunaireintercalaire ? | Longitude | Signe duZodiaqueoccidental | Notes |
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Hiver chinois | 11月 | 十一月 shíyīyuè | 子 zǐ (rat) | exceptionnel | 270° | Capricorne | inclut le solstice d’hiver (le 21 décembre) ; peut inclure le Nouvel An grégorien (le 1er janvier) |
12月 | 十二月 shí'èryuè | 丑 chǒu (boeuf) | jamais | 300° | Verseau | peut inclure le Nouvel An grégorien (le 1er janvier) |
Printemps chinois | 01月 | 正月 zhēngyuè | 寅 yín (tigre) | peu fréquent | 330° | Poissons | débute au Nouvel An chinois (entre le 21 janvier et le 20 février) |
02月 | 二月 èryuè | 卯 mǎo (lièvre, chat ou lapin) | peu fréquent | 000° | Bélier | inclut l’équinoxe de printemps (le 21 mars) |
03月 | 三月 sānyuè | 辰 chén (dragon) | possible | 030° | Taureau | |
Été chinois | 04月 | 四月 sìyuè | 巳 sì (serpent) | possible | 060° | Gémeaux | |
05月 | 五月 wǔyuè | 午 wǔ (cheval) | possible | 090° | Cancer | inclut le solstice d’été (le 21 juin) |
06月 | 六月 liùyuè | 未 wèi (chèvre) | possible | 120° | Lion | |
Automne chinois | 07月 | 七月 qīyuè | 申 shēn (singe) | possible | 150° | Vierge | |
08月 | 八月 bāyuè | 酉 yǒu (coq) | peu fréquent | 180° | Balance | inclut l’équinoxe d’automne (le 21 septembre) |
09月 | 九月 jiǔyuè | 戌 xū (chien) | peu fréquent | 210° | Scorpion | |
Hiver chinois | 10月 | 十月 shíyuè | 亥 hài (cochon) | peu fréquent | 240° | Sagittaire | |
Le calendrier solaire agricole et les Jieqi
La course du soleil le long de l’écliptique fait l’objet depuis longtemps de l’attention des paysans. Elle constitue la base du calendrier agricole qui divise l’année en 12 mois solaires chacun (distincts des mois lunaires précédents) divisé en 2 périodes appelées alternativement
jie « noeud » et
qi « souffle ». Les 24 périodes sont nommées globalement
jieqi .
Un jie ou un qi équivaut à un déplacement du soleil de 15 degrés le long de l’écliptique, soit une durée d'à peu près 15 jours. Leur durée et leur répartition dans l’année solaire était historiquement réglée sur des mois de durée à peu près égale, mais leur calcul a vite été établi selon le "soleil vrai", c’est-à-dire selon l’observation du déplacement du soleil sur le plan de l’écliptique.
La course visible du soleil étant plus rapide en automne et en hiver (lorsque la terre est plus proche du soleil) qu'au printemps et en été, les mois solaires chinois et donc aussi les jieqi sont donc plus courts en durée en fin d'année (contrairement au calendrier grégorien qui a été défini pour équilibrer la durée des mois au cours de l’année, mais de façon irrégulière pour des raisons historiques, sans suivre le soleil vrai et donc sans tenir compte de l’excentricité de l’orbite elliptique terrestre, qu’on observe pourtant en voyant que le zénith du Soleil projette sur Terre, au cours de l’année, un « huit » aux deux boucles de grandeurs inégales et que le Soleil parcourt à des vitesses inégales).
Ce système étant entièrement solaire, il n’utilise donc aucun mois intercalaire et présente une correspondance assez régulière avec le calendrier grégorien. Les périodes portent des noms évoquant les changements de la nature ou les activités agricoles du moment.
Bien que le calendrier agricole ne prenne pas en compte les mouvements de la lune, la vie des paysans était également rythmée par les fêtes traditionnelles, dont la date dépend, elle, du calendrier luni-solaire. Il était important de savoir déterminer la date du Nouvel An chinois. C'est en principe le jour de la nouvelle lune qui tombe durant la période dite lichun ou en est le plus proche.
Bien que dans les calendriers officiels les mois ne portent que des numéros, la tradition populaire leur donnait souvent des noms. Celui du premier mois, zhengyuè , « mois réglé », est encore utilisé (il correspond aussi au nom du premier mois non intercalaire du calendrier lunaire, puisque le premier mois solaire contient presque entièrement et souvent entièrement le premier mois lunaire) ; dongyuè « mois d'hiver » et layuè , nom d’un sacrifice, désignaient respectivement les 11e et 12e mois dans le Nord de la Chine. Ils ne sont plus employés, mais se rencontrent dans des proverbes et des oeuvres littéraires. Dans les régions aux productions agricoles abondantes, chaque mois portait le nom d'un fruit.
Tableau des Jieqi
Les dates ci-dessus sont approximatives et peuvent varier légèrement d'une année à l'autre. La nouvelle année chinoise est le plus souvent le jour de la nouvelle lune le plus près de Lìchūn.
Chanson des Jiéqì
Elle est utilisée pour simplifier la mémorisation des
Jiéqì.
Chanson | Écriture han | Écriture pinyin |
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《節氣歌》 春 雨 驚 春 清 谷天、 夏 滿 芒 夏 暑 相連、 秋 處 露 秋 寒 霜降、 冬 雪 雪 冬 小 大寒。 | « Jiéqìgē » chūn yǔ jīng chūn qīng gǔtiān, xià mǎn máng xià shǔ xiānglián, qiū chù lù qiū hán shuāngjiáng, dōng xuě xuě dōng xiǎo dàhán. |
Correspondances | 節氣 | Jiéqìs |
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立春、雨水、驚蟄、春分、清明、穀雨〖谷天〗、 立夏、小滿、芒種、夏至、小暑、大暑〖相連〗、 立秋、處暑、白露、秋分、寒露、霜降、 立冬、小雪、大雪、冬至、小寒、大寒。 | lìchūn, yǔshuǐ, jīngzhé, chūnfēn, qīngmíng, gǔyǔ(gǔtiān),
lìxià, xiǎmǎn, mángzhòng, xiàzhì, xiǎoshǔ, dàshǔ(xiānglián),
lìqiū, chùshǔ, báilù, qiūfēn, hánlù, shuāngjiàng,
lìdōng, xiǎoxuě, dàxuě, dōngzhì, xiǎohán, dàhán. |
Numérotation des années
Il existe différents systèmes pour nommer les années. Le plus ancien, le cycle sexagésimal, combine deux séries de signes : 10 tiges célestes et 12 branches terrestres. Chaque année est nommée par une paire tige-branche . Le cycle formé par la combinaison des deux signes dure soixante ans, 60 étant le plus petit commun multiple de 10 et 12. On le nomme en chinois
jiǎzǐ, du nom de la première année.
Jiǎzǐ est une métaphore pour signifier une vie complète ; au Japon où le système avait cours autrefois, l'anniversaire des soixante ans s'appelle
kanreki, « complétion du calendrier ». Selon la tradition, ce système fut inventé par le mythique
Empereur Jaune (Houang-Ti ou Huangdi), considéré comme le père de la civilisation chinoise, en -2637, l’année de ses 60 ans (61 ans en âge chinois, l'année précédant la naissance étant comptée). On considère que le départ en est -2697, l'année de sa naissance, ou -2698, l'année de sa procréation.
En fait, ce système inventé vraisemblablement sous les Shang, antèrieur au XIIe siècle av. J.-C., ne fut longtemps utilisé que pour la numérotation des jours. C'est seulement au milieu de la Dynastie Han (~ début de l'ère chrétienne) qu'il commence à numéroter les années. Par ailleurs, depuis 841 av. J.-C., existait la datation en années de règne du souverain local, qui fait suivre son nom (souvent un nom posthume) du numéro de l'année de règne. À partir du milieu des Han, les deux systèmes se combinent, le numéro de l'année étant exprimé dans le système Jiazi. De plus, vers la même période, les empereurs prennent l'habitude de diviser leur règne en ères ; la date est alors exprimée en année (sous forme sexagésimale) de telle ère de tel empereur. Il n'y a guère de risque de répétition, mais il y eut pourtant deux années 康熙壬寅 Kangxi rényín (1662 et 1722), cet empereur n'ayant pas divisé son règne en ères et étant resté sur le trône particulièrement longtemps.
En 1911, à la chute de l'empire, la datation impériale fut abandonnée. Certains étaient partisans d'adopter l' ère de l'Empereur Jaune, la faisant débuter en -2697 ; cette datation fut employée sur des documents émis par l'armée révolutionnaire du Hubei. Néanmoins, ce fut l' ère républicaine, commençant en 1912 (année 1 de la République de Chine), qui fut choisie. Selon ce système, 2006 est Minguo (république) 95. Abandonnée par la Chine populaire au profit de l' ère commune (selon la terminologie anglo-saxonne Common Era), similaire à la grégorienne, cette datation est encore en vigueur à Taïwan où lère commune est également d'usage courant. Selon la datation de Huang Di qui garde ses partisans, 2007 serait 4705 (2698 + 2007) et nous serions dans la 24e année du 79e cycle sexagésimal.
Les mois, jours et heures peuvent aussi être indiqués à l'aide des tiges célestes et des branches terrestres, mais ce n'est de nos jours guère utilisé que pour l'astrologie. Les tiges et les branches de l'heure, du jour, du mois et de l'année de naissance forment les « huit caractères » qui influencent le destin. Pour l'horoscope, les tiges célestes de l'année de naissance peuvent de plus être associées au Yin et au Yáng (une tige yin et une tige Yáng en alternance), ainsi qu'aux cinq éléments. Les douze branches peuvent être associées chacune à un animal-signe.
Parallèlement à l'année soli-lunaire, période qui relie deux Nouvel An chinois consécutifs, appelée nián, il existe une année purement solaire suì utilisée par les astronomes et les astrologues, qui s'étend d'un début du printemps lichun au suivant (voir la section Jiéqì). Certains soutiennent que le changement de jiazi, donc d'animal-signe, doit se fait au début de l'année solaire et non au Nouvel An chinois comme le veut l'habitude.
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ancre_1>Douze animaux ==
Ce sont, dans l'ordre, le rat, le boeuf, le tigre, le lapin, le dragon, le serpent, le cheval. la chèvre, le singe, le coq (sa prononciation, ji, est la même que «chance»), le chien et le cochon. Le chat remplace le lapin dans certaines cultures. Les animaux sont les symboles qui représentent certaines caractéristiques du tempérament et de la personnalité. La légende d'une course entre les animaux permet de mémoriser leur ordre, mais il n'y a en réalité aucune préséance entre les signes : Le premier Bouddha invita tous les animaux au réveillon du Nouvel An afin de leur communiquer ses observations. Douze animaux se rendirent à ce rendez-vous. Arrivèrent dans l'ordre : le rat (souris) chaleureux, le boeuf (buffle) déterminé, le tigre courageux, le lièvre (lapin /chat au Vietnam) casanier, le dragon (lézard) charismatique, le serpent frivole, le cheval libre, la chèvre (bouc /mouton) dépensière, le singe acrobate, le coq (phénix) franc, le chien justicier et enfin le cochon (sanglier /ours / porc) généreux (le nom des animaux peut varier car cette légende étant connue dans presque toute l'Asie, chaque pays l'adapte à sa faune).
Bouddha leur dit : « Pour vous remercier d'être venu à ce réveillon, à partir de cette année, chacun d'entre vous recevra des bénéfices lors de l'année qui lui est consacrée et lors des années consacrées aux animaux compatibles ». Ainsi, chacun des animaux a su quels autres animaux lui étaient compatibles, et qu'elles étaient leurs années favorables et défavorables selon l'élément de l'année. Les Douze animaux purent ainsi vivre une vie sereine. Voir d'autres versions
La tradition fixe la première année du rat à 2697 ou 2698 avant notre ère, respectivement années de naissance et de procréation de l'Empereur Jaune, souverain mythique considéré comme le père de la civilisation chinoise et l'inventeur du cycle sexagésimal.
Jours de fête
Date | Nom français | Nom chinois | Activités | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 |
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mois 1 jour 1 | Fête du printemps (Nouvel An chinois) | 春節 chūnjié | Réunion familiale et festivités importantes | 1er fév | 22 jan | 9 fév | 29 jan | 18 fév | 7 fév |
mois 1 jour 15 | Fête des lanternes | 元宵節 yuánxiāojié | Retraite aux flambeaux, consommation de yuánxiāo | 15 fév | 5 fév | 23 fév | 12 fév | 4 mar | 21 fév |
4 ou 5 avr | Qing Ming Jie | 清明節 qīngmíngjié | Visite et nettoyage des tombes familiales | 5 avr | 4 avr | 5 avr | 5 avr | 5 avr | 4 avr |
mois 5 jour 5 | Fête des bateaux dragons | 端午節 duānwǔjié | Courses de bateaux dragons et consommation de Zòngzi | 4 juin | 22 juin | 11 juin | 31 mai | 19 juin | 8 juin |
mois 7 jour 7 | Qi Qiao Jie (Saint-Valentin chinoise) | 乞巧節 qǐqiǎojié | Les jeunes filles font la démonstration de leurs qualités domestiques et prient pour un bon mariage | 4 août | 22 août | 11 août | 31 juil | 19 août | 7 août |
mois 7 jour 15 | Fête des fantômes | 中元節 zhōngyuánjié | Cérémonies et offrandes aux âmes errantes | 12 août | 30 août | 19 août | 8 août | 27 août | 15 août |
mois 8 jour 15 | Fête de la mi-automne (Fête de la lune) | 中秋節 zhōngqiūjié | Réunion familiale et consommation de yuebing | 11 sep | 28 sep | 18 sep | 6 oct | 25 sep | 14 sep |
mois 9 jour 9 | Fête du double neuf (Fête des chrysanthèmes) | 重陽節 zhòngyángjié | Excursion en montagne et visite d'expositions florales | 4 oct | 22 oct | 11 oct | 30 oct | 19 oct | 7 oct |
mois 10 jour 15 | Fête de Xia Yuan | 下元節 xiàyuánjié | Prière au dieu de l'eau pour une année paisible | 8 nov | 26 nov | 16 nov | 5 déc | 24 nov | 12 nov |
21 ou 22 déc | Fête du solstice d'hiver | 冬至 dōngzhì | Réunion familiale et consommation de tāngyuán | 22 déc | 21 déc | 22 déc | 22 déc | 22 déc | 21 déc |
Notes
Articles connexes
Liens externes